De Jundi ShapurSilicon Valley FR Anthroposophie Steiner Technologie morale informatique ordinateurs 666 Francis Paul Emberson

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La superstition, cest la croyance en des esprits l o il ny en a pas ; mais on peut aussi ne pas y croire l o il y en a ; cest la superstition ngative.Rudolf SteinerLessor extraordinaire de lordinateuret de linformatique, qui commencent dirigerles activits des hommes dans une mesuretoujours plus grande, ne peut tre compris que si lon pntre jusqu larrire-plan spirituel de ce dveloppement. Les perspectives qui souvrent alors sont bouleversantes. Le regard est entran, dun ct, vers des vnements historiques peu connus des premiers sicles de notre re ; de lautre ct, lvolution future de lintelligence artificielle se laisse deviner. Cest ce vaste panorama que lauteur nous fait dcouvrir dans ce livre.Francis Paul Emberson est n en 1943 Leeds au mord de lAngleterre. Dans son enfance, depuis les fentres de la maison familiale btie sur une colline, il voyait un trafic dense sur deux voies ferres importantes et un canal par lequel les pniches desservaient une grande acirie aux hauts fourneaux ainsi quune importante abbaye en ruine. Aprs sa scolarit lcole Rudolf Steiner puis lcole Suprieure, il devint expert-conseil auprs des principales compagnies dassurances anglaises et amricaines dans le domaine des risques techniques et industriels, dabord en Angleterre puis au Moyen-Orient et enfin sur-le plan europen.Profondment intress, depuis lge de dix-sept ans, par lanthroposophie de Rudolf Steiner, il acquit graduellement la conviction que seule une technique fonde sur la science spirituelle peut -tre la mesure de lhomme.Depuis 1989, il est responsable dAnthro-Tech dont les laboratoires de recherche sur lapplication de la science spirituelle ta technologie se situent aux Sciernes dAlbeuve en Suisse romande.LES TROIS ARCHES102187Scann le 24 Aot 2005 laide dun logiciel de reconnaissance dcriture. La mise en page nest pas identique celle du livre original. Silicon ValleyDe Jundi ShapurFrancis Paul EmbersonFrancis Paul EmbersonDE JUNDI SHAPURA SILICON VALLEYLimpulsion spirituelle derrire le dveloppementdes ordinateurs et lavenir de la technologiedans leurs relations avec le Mouvement AnthroposophiqueLES TROIS ARCHES24, avenue des Tilleuls78400 CHATOUIntroductionLa superstition, cest la croyance en des esprits l o il ny en a pas ; mais on peut aussi ne pas y croire l o il y en a: cest la superstition ngative. Cette remarque est tire dune confrence donne par le grand savant autrichien, Rudolf Steiner, dont les recherches scientifiques sur le plan spirituel ont rendu possible une tude approfondie du sujet trait dans ce livre. En voquant ainsi ce quil appelait superstition ngative, Steiner prcisa que lhumanit sy adonne tout particulirement en ce qui concerne les produits de la technologie.*Sil y a un domaine dans lequel on cherche tout prix croire en la superstition ngative de nos jours, cest bien celui des rapports de lhomme avec lordinateur. Nayez crainte, disent les promoteurs de lintelligence artificielle, ce ne sont que des machines. Elles ne peuvent penser ni acqurir une volont propre ; elles ne font quexcuter les instructions que vous leur donnez. Erreur grave, car la science spirituelle permet de constater ce que certains physiciens et autres chercheurs commencent entrevoir aujourdhui : la matire est la manifestation de laction rciproque de forces et dnergies rgies par une intelligence universelle. Cette intelligence ne possde pas seulement un caractre gnral, mais elle se diffrencie et sindividualise dans les divers phnomnes et processus du monde, lexemple le plus immdiat tant lhomme lui-mme. Les produits de la technique, les machines et appareils, ne font pas exception ce principe fondamental de lexistence ; lintelligence sindividualise en eux des degrs diffrentsselon leur complexit et leurs potentialits.Sans doute le penseur matrialiste, se basant sur ses prjugs, rejettera demble lide dentits dans les machines en la qualifiant de fantaisiste. Mais lhomme plus ouvert, qui ne croit pas dj tout savoir sur lexistence, sera peut-tre amen se dire que, ne stant pas familiaris avec les mthodes de recherche de la science spirituelle, il nest pas encore en mesure de porter sur les rsultats de cette recherche un jugement fond. Si son intrt le conduit examiner les mthodes employes par un chercheur spirituel comme Rudolf Steiner, il remarquera lobjectivit et la grande rigueur avec lesquelles ce dernier appliqua la dmarche exprimentale de la science moderne ltude des domaines spirituels. Dans le prsent livre nous nous rfrerons souvent des faits importants mis en vidence par ce mode de recherche.Lessor extraordinaire de lordinateur et de linformatique, qui commencent diriger les activits des hommes dans une mesure toujours plus grande, ne peut tre compris que si lon pntre jusqu larrire-plan spirituel de ce dveloppement. Les perspectives qui souvrent alors sont bouleversantes. Le regard est entran, dun ct, vers des vnements historiques peu connus des premiers sicles de notre re ; de lautre ct, lvolution future de lintelligence artificielle se laisse deviner. Cest ce vaste panorama que lauteur a tent desquisser dans les pages qui suivent. Dans les derniers chapitres, il a voqu une alternative, une technologie radicalement diffrente. Cette dernire se base sur lutilisation des forces thriques. A cause de son caractre particulier, la science spirituelle lappelle technique morale.* voir citations la page 92.Chapitre ILordinateur se distingue des autres machines comme lhomme se distingue des animaux. Sous son influence, lvolution de lhumanit suivra des voies insouponnes jusqu prsent. Seul lapport de la science spirituelle moderne, fonde par Rudolf Steiner au dbut de notre sicle, permet de lever le voile qui cache larrire-plan spirituel du dveloppement des machines doues dintelligence artificielle. Un drame extraordinaire se dvoile alors notre regard, drame dont les premiers actes se sont jous dj au septime sicle de Ire chrtienne et dont le dnouement dans un avenir lointain dcidera de la survie de lhomme. Afin de comprendre la nature de ce drame spirituel, il est peut-tre utile de rappeler certaines ides fondamentales concernant le bien et le mal.Le bien et le malRudolf Steiner a dcrit le mal comme un bien qui nest pas sa place. Il illustra souvent ce principe par lexemple suivant. Une chose bonne une certaine poque peut devenir inapproprie si elle se maintient trop longtemps. Plus elle persiste au-del de son temps, plus elle apparat nuisible, jusqu devenir finalement un mal. Des tres spirituels retards sont loeuvre quand le bien se transforme de cette manire en un mal1. Nous avons ici un reflet du principe zoroastrien du mal que les anciens Perses exprimentaient comme tant personnifi par Ahriman.Il peut aussi arriver que quelque chose de bien appartenant au futur soit introduit prmaturment dans le prsent. Le monde nest pas prt le recevoir et ne peut tablir avec lui une relation juste. Ici aussi, ce qui aurait t un bien la bonne poque devient nfaste. Depuis le Mystre du Golgotha, les tres ahrimaniens agissent surtout de cette manire. Rudolf Steiner indiqua quils provoquent la prcipitation du futur dans le prsent. En retraant lorigine spirituelle de limpulsion qui sexprime aujourdhui dans la technologie de lordinateur, nous allons voir quel dsastre pour lvolution de la terre peut tre caus par cette activit ahrimanienne.Mais le bien peut encore tre dplac et transform en son contraire autrement. Rudolf Steiner dit que le mal survient quand on fait un mauvais usage de forces spirituelles2. Cest l lessence de la magie noire et la raison pour laquelle ceux qui en pratiquent mme les rituels profanes - la messe noire par exemple - cherchent profaner des lieux saints et msuser des objets sacrs. Plus grandes sont les forces du bien mal utilises, plus puissant est le mal qui en rsulte. Le bien le plus grand peut tre transform en suprme mal. A lorigine de limpulsion occulte conduisant au dveloppement des ordinateurs, il y a une tentative de dvoyer le travail spirituel accompli par un trs grand initi, Mans.MansParmi les courants occultes chrtiens auxquels appartient le Mouvement Rosicrucien-Anthroposophique, le Manichisme est le moins connu et le plus profondment sotrique3. Rudolf Steiner a trs peu parl des Manichens. Ils se prparent agir dans lavenir avec une grande force spirituelle quand, aprs la Guerre de Tous contre Tous, ils chercheront racheter les mes qui ont succomb au mal. Le but du Manichisme est dapprendre transformer le mal en bien.Bien que les origines de limpulsion manichenne se situent trs loin en arrire dans le pass, le mouvement portant ce nom fut fond au troisime sicle de notre re par Mans, un trs grand initi chrtien. Comme nous allons bientt le voir, la connaissance de son travail est essentielle pour comprendre limpulsion qui sexprime dans la technologie actuelle de lordinateur.Dans la mesure o lhistoire est capable de le dire, Mans naquit en 216 aprs Jsus-Christ, ou du moins aux environs de cette poque. Il semble avoir t Perse, bien que diffrents rcits existent concernant son lieu de naissance. Les traces historiques de sa vie se prcisent lpoque o, g de vingt trente ans, il se mit enseigner sa doctrine du bien et du mal et la transformation du mal en bien. Lendroit o il exposa cette doctrine et fonda le mouvement spirituel qui porte son nom tait une ville appele Beth Lapat, dans le district Persan du Khusistan. Sa vie et son oeuvre apparaissent magnifiquement exprimes dans la pice dAlbert Steffen, Lexprience de la Mort de Mans.Son destin terrestre, comme celui dautres guides spirituels de lhumanit, culmina dans sa mise mort. Il fut corch vif et sa peau fut suspendue au-dessus dune des portes de la ville qui, depuis lors, fut appele Porte de Mans.Aprs sa mort, Mans continua son travail dans le monde spirituel ; il se rincarna rapidement et resta presque continuellement sur terre depuis cette poque. Au quatrime sicle de notre re, il rassembla trois des initis qui guident lhumanit, Zarathoustra, Scythianos et Bouddha, pour prparer lavenir. Rudolf Steiner dcrit de la manire suivante cet vnement spirituel :Lhistoire mentionne encore une quatrime individualit derrire laquelle, pour de nombreux esprits, rside un tre encore plus lev, encore plus puissant que les trois entits que nous avons cites sous les noms de Scythianos, Gautama Bouddha et Zoroastre. Cest Mans, considr comme un haut messager du Christ par ceux qui voient dans le manichisme plus quon ne le fait dhabitude. Peu de sicles aprs que le Christ eut vcu sur la terre, disent-ils, Mans assembla autour de lui trois grandes personnalits du quatrime sicle, pour lune des plus importantes runions qui naient jamais eu lieu, tout prs de la terre, mais dans le monde spirituel. Cette vision imaginative retrace un vnement fondamental de la civilisation spirituelle : le but de la runion tait de se concerter sur la faon de ranimer peu peu la sagesse transmise aux ges postatlantens et de lui rendre lavenir un rayonnement de plus en plus grand et de plus en plus glorieux. Quelles sont les personnalits que Mans a rassembles pour cette mmorable entrevue, que seule la vision spirituelle peut atteindre ? La premire est celle en qui Scythianos avait vcu autrefois, la rincarnation de Scythianos au temps de Mans ; la seconde est un reflet physique du Bouddha rapparu ce moment, et la troisime est Zoroastre rincarn cette poque. Mans a tenu un conseil o fut arrt le plan daprs lequel toute la sagesse des Bodhisattvas, aux temps post-atlantens, devait se rpandre de plus en plus lavenir. Et le plan quils arrtrent pour lvolution venir de la terre fut conserv et transmis ces Mystres europens que sont les Mystres de la Rose-Croix.5Jundi ShapurLa ville de Beth Lapat, partir de laquelle, grce au travail de Mans, le courant le plus profond de loccultisme chrtien scoula dans le monde, devint une cit florissante. Au Nord slevaient les hauts sommets des Monts Zagros. Devant elle serpentait un affluent de la rivire Diz. La plaine fertile dans laquelle elle se trouvait tait richement cultive de crales et de palmiers dattiers. Pendant un certain temps, elle fut la cit royale de Perse, Shapur I et ses successeurs immdiats y ayant tabli leur rsidence. Durant la vie de Mans, elle fut rebaptise Jundi Shapur en lhonneur du roi.Jundi Shapur devint peu peu lun des plus grands centres dtudes que le monde ait connu.Diffrentes coles y taient tablies dont sortit la fameuse et mystrieuse acadmie. Sans les indications donnes par Rudolf Steiner, nous ne saurions pas quelle profonde influence lacadmie de Jundi Shapur allait exercer sur lhistoire jusqu notre poque et au-del.Charles Davy, dans une note accompagnant la traduction anglaise du cycle de confrences de Rudolf Steiner intitul Trois courants dans lvolution de lhumanit crit ce qui suit :La ville de Jundi Shapur fut fonde par un roi de Perse, Shapur I (224-241 aprs J.C.). Mans, le fondateur du manichisme, y fut mis mort en 276. Le premier des vnements qui conduisirent lmergence de lacadmie de Jundi Shapur survint en 455 quand lvque dEdesse mit en vigueur dans son diocse les dcrets du Concile de Chalcdoine contre les Nestoriens ; quelques-uns dentre eux migrrent en Perse. Une autre expulsion des Nestoriens eut lieu en 487, et en 489 lempereur Zeno ferma dfinitivement lcole dHesse. Lacadmie de Jundi Shapur cependant ne fut pas formellement ouverte avant que les coles grecques de philosophie naient t fermes par lempereur Justinien en 528-529, durant le rgne du roi perse Khusraw I(531-576). Dans son ouvrage Comment la science grecque passa aux Arabes (Routledge, 1949), le Dr. De Lacy OLeary dit de Khusraw I:Il tait un grand admirateur de la culture grco-romaine et souhaitait particulirement introduire la science grecque dans son empire. Cest lui qui offrit lhospitalit aux philosophes errant abandonns, quand Justinien ferma les coles dAthnes, et qui leur fournit la scurit et lassistance quand ils dsirrent retourner en Grce. Il voulait avoir en Perse une grande acadmie grecque comme celle dAlexandrie, et il tablit une telle acadmie dans la ville de Jundi Shapur. Le plan dtudes dAlexandrie y fut introduit et on y lisait et tudiait aussi les livres de Galien. Lacadmie devint clbre, spcialement pour son enseignement mdical ; les autres principaux sujets tudis semblent avoir t lastronomie (il y a des mentions dun observatoire) et les mathmatiques.Dans sa Mdecine Arabe (Cambridge University Press, 1960), le Dr. E.G. Brown mentionne ces diffrents vnements : Le grand dveloppement de lcole de Jundi Shapur fut. le rsultat imprvu et inattendu de cette intolrance byzantine qui, au cinquime sicle de notre re, chassa les Nestoriens de leur cole dEdesse et les fora trouver refuge en territoire perse. Au sicle suivant, lami clair de la sagesse Khusraw Anusharwan, protecteur des philosophes no-platoniciens exils, envoya son physicien Barzuya en Inde. En mme temps que le jeu dchecs et que le clbre Livre de Kalila et Dimna, Barzuya ramena en Perse des ouvrages de mdecine de lInde et apparemment aussi des physiciens indiens. Lcole de Jundi Shapur tait alors, lpoque de la naissance du prophte Mahomet, au sommet de sa gloire. Les sciences grecque et orientale y faisaient convergence. Celle de Grce tait transmise pour une part directement par des savants grecs, mais pour la majeure partie par lintermdiaire des Syriens, travailleurs et assimilateurs, qui compensaient par leur assiduit leur manque doriginalit.6Mais le dveloppement de la brillante acadmie dans ce haut lieu de loccultisme chrtien recle une impulsion inconnue de lhistoire exotrique. Ce fut la prparation pour un vnement qui devait changer le cours de lvolution et priver lhumanit de son avenir. Rudolf Steiner en parle de la faon suivante :Prenez lvnement, de peu dimportance pour les gens ordinaires, mais tout de mme un vnement dune signification extraordinaire - prenez lvnement de lanne 529, quand lempereur Justinien ferma les coles grecques de philosophie - ces coles qui taient le phare de lantiquit. Ainsi, toute la science des anciens temps qui avait t cultive dans les coles grecques de philosophie et qui avait produit Anaxagore, Hraclite et plus tard Socrate, Platon, Aristote, tout cela fut balay en 529 par un dcret de lempereur Justinien. Cest vrai, il est possible, par ltude de lhistoire, de se faire une ide de la raison qui poussa Justinien liminer cet ancien savoir dEurope ; mais si nous rflchissons honntement ces choses, nous demeurerons insatisfaits par toutes les explications donnes. Nous ressentons le travail de .forces inconnues. Et il est trange que cet vnement concide - pas exactement, mais les faits historiques vont souvent ensemble quand on les regarde avec du recul - cet vnement est li lexpulsion des philosophes dEdesse en lan 489 par Znon Isauricus. Ainsi, de ces endroits les plus importants du monde de lpoque, les hommes les plus cultivs furent chasss. Ces hommes, qui avaient prserv lancienne sagesse non encore influence par le christianisme, furent obligs de partir au loin. Ils senfuirent Nisibis, firent ensuite route vers la Perse et fondrent lacadmie de Jundi Shapur.On sait trs peu de choses, mme parmi les philosophes, sur cette acadmie des sciences de Jundi Shapur. Mais si on ne connat quelque peu le caractre de cette acadmie, fonde par ceux qui avaient fait partie des anciennes coles de mystres, on ne peut rien comprendre toute lvolution de lhumanit moderne. Car cette ancienne sagesse, transporte en Perse par les sages que Justinien et Isauricus avaient bannis, constitua la base dun enseignement extraordinairement important qui fut dispens au VIIe sicle Jundi Shapur. Ce fut Jundi Shapur quAristote fut traduit. Et la chose remarquable est quAristote (dont les oeuvres auraient pu tre autrement compltement perdues) avait dabord t traduit en syrien, Edesse, par ces hommes de sciences qui furent plus tard chasss par Znon Isauricus ; le texte syrien fut apport Jundi Shapur, et l il fut traduit en arabe.Cette restitution des oeuvres dAristote du grec en arabe, en passant par le syrien, constitue quelque chose de trs remarquable. Celui qui a une ide de la transformation que des penses subissent quand elles sont traduites en une autre langue - ou quand on essaie de les traduire - pourra saisir comment, pour le dire sous forme dhypothse, une certaine intention a pu se glisser dans le fait de prsenter, non pas Aristote le Grec, mais un Aristote qui tait devenu arabe en passant par le syrien. Ainsi, il se fit que les concepts aristotliciens prirent une coloration arabe que leur donnrent les remarquables mes des arabes de cette poque, en qui la pense la plus aiguise sunissait un certain pouvoir de clairvoyance - un pouvoir qui tait toutefois imprgn de logique et qui atteignait la vritable perception. Et ainsi, la lumire de cet enseignement caractristique, une conception du monde impressionnante se dveloppa Jundi Shapur au cours d
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