La_nature_chez_Le_Clezio

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资源描述
Table des matires1/ Avant-propos12/ Lespace le clzien52. 1 Lieux originels62.1.1 Dsert62.1.2 Mer162.1.3 Fleuve192.2 Lieux dniques252.2.1 Mananava252.2.2 Le Boucan292.2.3 Lle Saint Brandon312.2.4 LAnse aux Anglais332.2.5 Les lacs de vie383/ Rencontre entre lespace et les personnages effet de miroir413.1 Animation des lments423.2 Incarnation de lespace464/ Effet de contraste534.1 La ville554.2 Disparition du paradis604.3 Deux civilisations685/ Conclusion72Bibliographie75Bibliographie de lauteur781/ Avant-proposJe veux crire pour une aventure libre, sans histoire, sans issue, une aventure de terre, deau et dair, o il ny aurait jamais que les animaux, les plantes et les enfants. Je veux crire pour une vie nouvelle. J.M.G. Le Clzio, LInconnu sur la terre J.M.G. Le Clzio, LInconnu sur la terre, Gallimard, Paris, 1990, pp. 313.Le prsent mmoire de matrise se donne pour but dtudier lunivers naturel chez J.M.G. Le Clzio, crivain contemporain franais lu en 1994 le plus grand crivain de la langue franaise. Dans notre tude nous allons prter attention trois de ses uvres: Dsert (1980), Le Chercheur dor (1985) et Onitsha (1991). La raison pour laquelle nous avons choisi ces trois romans est lie au fait quils partagent un certain nombre de points communs. Premirement, les trois romans sont publis approximativement la mme poque. Deuximement, les rcits dOnitsha et de Dsert se droulent en Afrique, lun au Nigria, lautre au Maroc. Quant au Chercheur dor, il nous emmne aux les Maurice et Rodrigues. Troisimement, Onitsha et Le Chercheur dor sont inspirs des vnements biographiques. Mais ce qui lie ces trois livres, cest surtout la qute symbolique de lharmonie et de lquilibre avec la nature et lunivers, ainsi que la dimension mythique des rcits qui cherche donner cette qute une valeur universelle. Il nous faut avouer que cest surtout cette dernire dimension qui a attir notre attention et que nous avons particulirement apprcie.Avant de commencer notre recherche, il est ncessaire de mentionner quelques vnements de la biographie de lauteur pour comprendre sa faon dcrire et la raison pour laquelle il porte attention tel ou tel sujet telle ou telle poque de sa vie. J.M.G. Le Clzio est issu de la famille dorigine mauricienne. Un de ses anctres a dcid, au XVIIIe sicle, de quitter la Bretagne et de sinstaller lle Maurice. Cest pourquoi lhistoire du Chercheur dor se droule cet endroit. Elle est en effet lie lhistoire de son grand-pre qui a rv dy trouver un trsor et cest sur les pas de celui-ci que Le Clzio part en 1981 aux les Maurice et Rodrigues, voyage qui deviendra la base de ce roman daventure. Le Clzio lui-mme en ditque cest:le seul rcit autobiographique quil ait jamais eu envie dcrire. Le Clzio par lui-mme, Magazine littraire, no 362, fvrier 1998, pp. 31. Il est n Nice le 13 avril 1940 et jusqu lge de sept ans il y vit avec sa mre et son petit frre tandis que son pre travaille au Nigria comme mdecin de brousse. En 1948 il entreprend son premier voyage pour rejoindre cet homme inconnu et pendant cette traverse en bateau il crit ses premiers romans intituls Un long voyage et Oradi noir. Cette exprience lui servira galement dinspiration pour son roman Onitsha. Ce voyage et ce sjour en Afrique, mme sils ne durent quun an et demi, jouent un grand rle dans la perception personnelle de sa vie: Je suis rest un an en Afrique. Un an de grandes vacances. Ctait prodigieux. Jai toujours limpression que je naurais fait quun seul voyage dans ma vie: celui-l. Grard de Contanze,Une littrature de lenvahissement, Magazine littraire, no 362, fvrier 1998, pp. 25. Quant Dsert pour lequel il reoit en 1981 le grand prix Paul-Morand et qui lui vaudra de grands succs auprs dun large public, il y tait attir plutt par ce que les autres en avaient dit que par la propre exprience. Dsert, tout comme Onitsha ou Le Chercheur dor, propose une ouverture la nature et au pass originel, qui sont en opposition avec la civilisation moderne. En 1967, il effectue son service militaire Bankok en tant que cooprant. Il est expuls pour avoir dnonc la prostitution enfantine qui commanait de se dvelopper cette poque-l en Thalande. Lautorit militaire a eu la bonne ide de lenvoyer finir son sevice au Mexique. Il devient passionn par cette rgion et par les indiens. Pendant quatre ans, de 1970 1974, il partage la vie des indiens Emberas et Waunanas au Panama, exprience qui va changer toute sa vie et sa vision du monde: Jai eu de la chance de partager la vie dun peuple amrindien . exprience qui a chang toute ma vie, mes ides sur le monde et sur lart, ma faon dtre avec les autres, de marcher, daimer, de dormir et jusqu mes rves. Jean Meyer, Linitiation mexicaine, Magazine littraire, no 362, fvrier 1998, pp. 37. Lcrivain qui jusquici fuyait la ville et la socit de consommation, dont lcriture tait celle de la colre et de la rvolte contre le monde, devient alors le chanteur de la beaut terrestre et liniateur aux mystres de la nature . Il est depuis lors la recherche dune cohrence, dun quilibre philosophique, et nos trois livres sont parmi les premiers fruits de cette qute. Aprs son sjour chez les indiens lcriture de Le Clzio change. Il se donne un nouveau but: crire pour la beaut du regard, pour la puret du langage. Il veut crire pour tre du ct des animaux et des enfants, du ct de ceux qui voient le monde tel quil est, qui connaissent toute sa beaut. J.M.G. Le Clzio, LInconnu sur la terre, Gallimard, Paris, 1990, pp. 312. Son criture tend devenir potique. Il utilise des mtaphores, des rptitions, des procds stylistiques plus proche du pote que du romancier pour peindre le monde o la nature devient vivante et charge de sens. Elle nous permet daccder un autre monde cach de lautre ct des choses. Y accder est en effet facile. Il suffit de sentir, de voir et dentendre. Le Clzio reprend ainsi la vision du monde des peuples traditionnels tels que les indiens pour nous faire voir une autre face de la quotidiennet, pour nous rapprocher de la nature, de la terre, notre vritable mre, car cest elle qui nous permet de vivre et de survivre dans notre monde technique. Notre mmoire de matrise portera donc sur lanalyse du monde le clzien dans ces trois uvres choisies. Nous dlimitons ce monde par lespace naturel o se droulent les intrigues, cest-dire le dsert, la mer et le fleuve et par certains autres lments naturels qui sont en proche relation avec ce monde. Nous tenterons de dvoiler la fonction de ces espaces et de ces lments choisis dans la structure narrative ainsi que des diffrents rles et valeurs quils acquirent dans le rcit. Dabord nous porterons notre attention lespace, aux tendues dans lesquelles se droulent les rcits des trois livres. Ensuite nous tcherons desquisser des liens entre lespace, les lments naturels et les personnages. Et pour finir nous traiterons la nature en tant que moyen dexprimer lopposition entre le monde traditionnel et le monde moderne. Nous noublierons pas non plus de traiter la dimension potique des uvres lie la nature. Pour ne pas tre encombr par des centaines de donnes sur la nature, nous ne choisirons que certains thmes significatifs rcurrents qui nous serviront de base pour notre analyse. 2/ Lespace le clzienParler de lespace ou lieu le clzien, cest surtout parler de la mer, du dsert, du roc ou du littoral. Le Clzio est attir par ces vastes tendues. Elles sont ses thmes obsessionels car lespace illimit est susceptible de concevoir la notion de la libert et de lternit et il peut facilement exprimer un lan de lauteur vers llmentaire et loriginel. Un tel espace est ouvert aux lments, ce qui suscite chez les personnages le dsir du contact avec la nature. Et la fusion avec la nature, la recherche dune harmonie, voil un leitmotiv de la narration le clzienne. Cette ouverture soppose en effet dans la topographie le clzienne la fermeture de lespace reprsente le plus souvent par la ville qui devient ainsi le lieu du malaise existentiel du personnage. Lespace ouvert, nous pourrions dire originel, voqu souvent laide dimages archaques et de rfrences mythiques, devient donc lendroit appropri pour les rcits portant sur la qute spirituelle de loriginel. Chez Le Clzio, nous pouvons rencontrer plusieurs types de lieux. Ils sont toujours dcrits dune manire potique mais ils ne sont jamais idylliques, pittoresques. Ils sont souvent lis au thme du retour aux origines. Il y a des lieux originels qui possdent une dimension mythique et essaient de reconstituer le monde des dbuts du temps o tout tait pur, non us par la dure du temps et non marqu par laction humaine. Cest le dsert de Dsert, la mer du Chercheur dor et le fleuve dOnitsha. Il y a des lieux dniques qui se rapportent limage de lden comme Le Boucan et Mananava, lAnse aux Anglais ou lle Saint Brandon. Il y a des lieux sacrs qui sont intacts et privilgis par le contact avec la divinit, qui nous inspirent le respect et le silence. Ce sont les endroits o nous avons peur de dranger, dabmer ou de briser un sortilge. Nous pouvons les rencontrer dans Dsert. 2. 1 Lieux originelsCe sont des endroits o toutes les limites, toutes les frontires habituelles sestompent et o le narrateur nous fait accder une autre ralit spatiale et temporelle. Il nous fait entrer au cur mme dun mythe de lorigine des temps. 2.1.1 DsertCest non seulement le titre du roman mais aussi le nom du personnage principal, ce que suggre le titre du roman o ne figure pas larticle. Il reprsente le but de la qute des hommes bleus, qui figurent dans le livre les derniers hommes libres. part sa dimension mythique, cest un lieu gographiquement bien dlimit. Nous pouvons trouver dans le roman beaucoup de noms propres qui nous permettent de situer lhistoire de Nour et de Lalla sur la carte. Certains noms propres, tel que Saguiet el Hamra, nous informent que leur histoire se droule au Maroc et le dsert est le Sahara. Mais pour comprendre le sens essentiel du dsert dans le roman nous pouvons oublier ces informations-l. Laccent est mis surtout sur sa dimension spatiale et temporelle. Le dsert est reprsent comme une vaste tendue, sil est dlimit, parat sans fin. Cest dailleurs une des raisons pour lesquelles nous pouvons parler dun lieu mythique. Son immensit est suggre par diffrents procds. Tout dabord le dsert est un pays uniforme, et parat par consquent sans limites:La valle semblait navoir pas de limites, tendue infinie de pierres et de sable rouge inchange depuis commencement des temps (D 224). Le regard ne trouve pas de point de repre. Il erre dans cette tendue de sable: Ici, tout est semblable, et cest comme si elle tait la fois ici, puis plus loin, l o son regard se pose au hasard, puis ailleurs encore, tout prs de la limite entre la terre et le ciel (D 97). Linfini peut tre voqu aussi par un jeu de miroir o limmensit de la terre se reflte sur celle du ciel: L, dans le pays du grand dsert, le ciel est immense, lhorizon na pas de fin, car il ny a rien qui arrte la vue (D 180), la terre semblait aussi grande que le ciel, aussi vide, aussi blouissante (D 224). Lautre procd est li laspect temporel. La marche des hommes bleus dure des jours, des semaines. Les jours ressemblent lun lautre au point que la perception du temps est estompe: Nour ne savait plus depuis combien de temps avait commenc le voyage (D 225). Cette phrase renvoie aussi dailleurs la dimension mythique du dsert. Dans des pays mythiques le temps scoule plus lentement que dans notre monde. Sa perception est diffrente. Laspect infini du temps est suggr aussi par les formes verbales, surtout par limparfait qui prend, dans certaines situations, surtout dans celles qui sont lies la marche des hommes bleus, la signification presque douloureuse, dintemporalit, de rptition sans fin. La grandeur infinie du dsert peut tre signale dautre part par le nombre de gens et par la grande quantit de noms propres des tribus venant du dsert. Il suffit douvrir le livre la page 424. Elle est toute remplie de leurs noms. La signification essentielle du dsert consiste en sa dimension mythique. Nous comprenons par mythique celui qui se rfre aux origines de lunivers. Cette dimension est suggre par certains composants du mythe comme le temps ou lvocation du centre.Le dsert forme le lieu de limmensit et de limmuabilit car il dfie le temps historique. Ici cest le royaume de lternit et du renouvellement ternel. Mme la composition du livre repose sur la rptition et sur la conception cyclique du temps comme le montrent la premire et la dernire phrase qui se rpondent en cho et qui donnent ce rcit et au dsert le caractre onirique: Ils sont apparus, comme dans un rve, au sommet de la dune . (D 7) - Ils sallaient, comme dans un rve, ils disparaissaient (D 439).Labolition du temps historique est une des rfrences au mythe, au temps mythique ou sacr. Le temps sacr est en opposition avec le temps profane, historique. Tandis que celui-ci scoule et constitue une dure par laquelle il peut user les choses, les tres humains, la socit, lautre est indfiniment rcuprable, indfiniment rptable. Il concide avec lillud tempus le temps des origines - o le Monde tait venu pour la premire fois lexistence. Il faut donc abolir le temps profane pour pouvoir rintgrer ce moment mythique. Mircea Eliade, Le sacr et le profane, Gallimard, Paris, 1995, pp. 63, 73. Do des rfrences laspect temporel du dsert et aux origines du monde: Ctait un pays hors du temps, loin de lhistoire des hommes, peut-tre, un pays o plus rien ne pouvait apparatre ou mourir, comme sil tait dj spar des autres pays, au sommet de lexistence terrestre (D 11) ou La valle semblait navoir pas de limites, tendue infinie de pierres et de sable rouge inchange depuis commencement des temps (D 224). Lvocation du centre est un autre composant du mythe. Le centre est lendroit o est possible la communication entre la terre et le ciel. Nous pouvons remarquer combien de fois Le Clzio fait allusion au ciel en parlant du dsert! Cela peut tre en parlant des hommes regardant le ciel: Les hommes regardaient souvent les toiles, la grande voie blanche qui fait comme un pont de sable au-dessus de la terre (D 11 12), ou en parlant de limmensit du dsert: La terre semblait aussi grande que le ciel, aussi vide, aussi blouissante (D 224) ou encore en liaison avec la marche: Maintenant ils marchaient sur limmense plateau de pierres, tout prs du ciel (D 233). Le dsert est le lieu du passage possible dans une autre ralit: Ctait ici, lordre vide du dsert, o tout tait possible, o lon marchait sans ombre au bord de sa propre mort (D 23). Et enfin cest lespace de la libert absolue dont le dsert est la matrialisation:Il ny a pas de fin la libert, elle tait vaste comme ltendue de la terre, belle est cruelle comme la lumire, douce comme les yeux de leau (D 439).Nous allons encore revenir au centre qui parat concider avec une koubba, tombeau dun marabout. Lunion terre-ciel est ici connote encore par la forme de ldifice qui est cubique chiffre quatre reprsente traditionnellement la terre - et surmont dune coupole hmisphrique reprsentation du ciel. Ce serait la dernire demeure dAl Azraque qui apparat Lalla et quelle appelle Es Ser, le Secret. Cest un lieu o tout commence et tout finit: Nour ne regardait plus lentre du tombeau, et la porte grandissait dans ses yeux, devenait la porte dun monument immense aux murailles pareilles des falaises de craie, au dme grand comme une montagne. Ici, sarrtaient le vent et la chaleur du dsert, la solitude du jour; ici finissaient les pistes lgres, mme celles o marchent les gars, les fous, les vaincus. Ctait le centre du dsert, peut-tre, le lieu o tout avait commenc, autrefois, quand les hommes taient venus pour la premire fois (D 27). Remarquons la comparaison du tombeau avec la montagne. La montagne peut aussi reprsenter le centre, laxe du monde, et de plus elle peut tre traditionnellement le sige des dieux. Cette rfrence renforce donc la signification symbolique du tombeau. Le centre reprsente lendroit des commencements du temps o le monde tait pur et sans usure. On y arrive pour reprendre de nouvelles forces, pour se purifier de ses pchs, pour sunir avec lunivers ainsi que le fait le pre de Nour: Lombre emplissait ses yeux comme avant le sommeil. Pourtant, en mme temps, une nergie nouvelle entrait par son ventre, par ses mains, rayonnait dans chacun de ses muscles. En lui, tout se changeait, saccomplissait. Il ny avait plus de souffrance, plus de dsir, plus de vengeance. Il oubliait tout cela, comme si leau de la prire avait lav son esprit. . Ctait un pouvoir direct, sans pense, qui venait du fond de lespace, comme si un lien invisible unissait le corps de lhomme allong et le reste du monde (D 30).Il y a encore un autre endroit dans le dsert qui ressemble par son caractre sacr la koubba et qui fait allusion la dimension mythique du dsert en tant que pays des origines. En effet ces deux lieux sont lis par la prsence dun personnage mystrieux, qui est Es Ser le Secret. Nous pouvons le considrer comme lincarnation personnelle du dsert ou comme Dieu du dsert. Cet endroit est une montagne, plus exactement un plateau de pierre blanche cach dans les collines o ne saventure que Lalla pour retrouver et communiquer avec Es Ser. Il y a plusieurs indices qui renvoient laspect sacr de cet espace. Premirement cest son emplacement dans la montagne. Comme nous lavons dj dit, la montagne est traditionnellement considre comme le sige des dieux, ou aussi comme laxe du monde o est possible la rupture des niveaux et par l laccs un autre monde. Cest ce qui arrive Lalla. Cest comme si elle entrait dans la mmoire dEs Ser ou comme si elle devenait son regard: Cest difficile comprendre, parce que cest un peu comme dans un rve, comme si Lalla ntait plus tout fait elle-mme, comme si elle tait entre dans le monde qui est de lautre ct du regard de lhomme bleu (D 97). A cet endroit-l, la Terre communique avec le Ciel: Alors elle arrive devant le grand plateau de pierre blanche qui stend jusquaux limites de lhorizon, jusquau ciel (D 94). Ce lieu est dautant plus magique quil cause la dcorporation de Lalla et son changement en quelquun dautre. Cette dcorporation est lie la lumire car cest elle qui par sa force libre et change: Cest comme dtre dans un autre monde, prs du soleil, en quilibre, prs de tomber. . tout son tre est en avant delle-mme, dans son regard, dans ses sens aux aguets; seul son corps est en retard, encore hsitant sur les roches aux artes qui coupent (D 201). La lumire, cet endroit magique, est limage de la force qui donne la vie, qui purifie et gurit:Cest la lumire qui libre, qui efface la mmoire. Qui rend pur comme une pierre blanche. La lumire lave le vent de malheur, brle les maladies, les maldictions (D 200). Une telle lumire est lima
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